Le matin au réveil tu n'as le goût à rien
L'angoisse t'étreint
Lève-toi et prépare un bon petit déjeuner.
Accepte ta vulnérabilité
Laisse tomber le désir de perfection
Le ciel est gris qu'importe
Choisis le cinéma, la télévision, la lecture
Le soleil est là tant mieux
Fais une promenade,
En ville, à la campagne, au bord de mer
Tu es là
Tu participes à la vie
Par les échanges, les petits gestes, un regard.

En moi,
un grand sourire
s'amorce,
se met à vibrer,
prend de l'espace,
s'anime en silence,
irradie dans tout mon être,
éclaire ma vie,
parce que j'ai aimé
et que j'ai le goût
d'aimer encore.
Monbourquette J. Aimer, perdre et grandir. Edts Bayard, p. 141
L'angoisse t'étreint
Lève-toi et prépare un bon petit déjeuner.
Accepte ta vulnérabilité
Laisse tomber le désir de perfection
Le ciel est gris qu'importe
Choisis le cinéma, la télévision, la lecture
Le soleil est là tant mieux
Fais une promenade,
En ville, à la campagne, au bord de mer
Tu es là
Tu participes à la vie
Par les échanges, les petits gestes, un regard.

En moi,
un grand sourire
s'amorce,
se met à vibrer,
prend de l'espace,
s'anime en silence,
irradie dans tout mon être,
éclaire ma vie,
parce que j'ai aimé
et que j'ai le goût
d'aimer encore.
Monbourquette J. Aimer, perdre et grandir. Edts Bayard, p. 141
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